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Le casino d’Uriage les Bains près de Grenoble était la scène d’un braquage à main armée qui s’est soldé par la mort de l’un des braqueurs et un fonctionnaire blessé. Tout à commencer lorsque deux hommes se sont présentés à la caisse du Casino pour braquer une somme estimée entre 20 000 et 40 000 euros et prendre la fuite par la suite, les deux malfaiteurs étaient pourchassés par les voitures de patrouilles de la gendarmerie et de gardiens de la paix pendant une heure, alors que les fonctionnaires de l’état subissaient les tirs de pistolets mitrailleurs et fusils d’assaut, dont les deux braqueurs étaient dotés en plus de gilets par balles, et la course chasse a duré tout au long du trajet liant Uriage les Bains à Grenoble. Ce qui a débuté par un vol tourne au cauchemar lorsque l’un des policiers fut blessé légèrement à la tête et transmis sur le champ à l’hôpital. Entre temps les braqueurs ont délaissé leur voiture et pris la fuite à pieds sans s’encombrer de leur butin, mais qui doivent subir une poursuite hardie de la part de la brigade anti criminalité et c’est l’un des malfaiteurs qui fut gravement blessé cette fois, pour succomber à ses blessures alors que son complice reste introuvable. Il faut noter que le casino d’Uriage les Bains n’est pas le seul visé par les braquages, d’autres cas ont précédé, notamment celui de Lyon en mois d’Avril dernier qui a fait parlé longtemps les citoyens français et était largement commenté par la presse, lorsque cinq cambrioleurs armés de fusils mitrailleurs ont envahit l’établissement le Pharaon où se trouvaient deux cent cinquante personnes, lors d’un hold up express pour s’emparer de la coquette somme de 30 000 euros et s’enfuir rapidement, heureusement aucune des personnes présentes n’a été blessée, ceci dit d’autres cambriolages ont eu lieux dont les victimes étaient des bijoutiers, des bureaux de tabac et même des petits commerces qui n’ont pas échappé au fléau.

Pour le Casino d’Uriage les bains ce Hold Up a tourné au désastre avec un policier blessé et un malfaiteur mort, il s’agit de Karim Boudouda, un jeune homme âgé de vingt sept ans, qui a été inhumé jeudi 22 juillet dans le carré musulman de la cimentière après une prière funéraire prononcée par un imam. Karim Boudouda a eu d’autres antécédents criminels de vol à main armée, mais le braquage du casino d’Uriage les Bains lui a été fatal alors que les policiers qui lui ont tiré dessus n’ont pas subi d’accusations car leur intervention entre dans le cadre de la légitime défense, thèse confirmée par l’Inspection Générale de la Police Nationale, et contestée par la concubine du défunt qui a donné naissance à leur bébé il y a quelques jours seulement et qui a déposé une plainte déposée auprès du parquet du tribunal de grande instance de Grenoble, pour éclaircir les circonstances du décès de son conjoint, le parquet a confirmé la réception de cette plainte mais il attend toujours les résultats de l’enquête avant de se prononcer sur la recevabilité de celle ci, en effet le parquet de Grenoble compte ouvrir deux enquêtes l’une concerne les tirs visant les policiers lors de l’exercice de leurs fonctions, alors que la deuxième porte sur le braquage du Casino d’Uriage les Bains. Quant au complice de Karim Boudaouda, son identité n’est pas encore définit par la police et il reste toujours en fuite, alors que les autorités sont à sa recherche avec un lourd dispositif d’hélicoptères qui survolent toute la zone de Villeneuve et de Grenoble alors que de larges processus de sécurité sont judicieusement mis en place à l’entrée de la ville de Grenoble pour essayer de repérer le malfaiteur et l’intercepter. Des recherches minutieusement menées par les autorités qui a encerclé tout le paramètre où s’est déroulé les incidents de la fuite et des échanges de tirs par la police et les malfaiteurs, pour pouvoir mettre un visage sur l’identité de la deuxième personne qui a tenté ce cambriolage râté.

Avant d’inhumer le corps de Karim Boudouda, il a fait l’objet d’une autopsie dont le rapport final a été remis au parquet pour annoncer que le jeune homme a été touché par deux balles l’une s’est placée à son pied alors que la deuxième s’est mortellement réfugiée dans son crâne. Sa mort tragique a donné lieu à une nuit interminable de violences urbaines qui ont marqué la ville de Villeneuve, mais une certaine accalmie s’est annoncée après la mobilisation de près de deux cents CRS et d’hommes du RAID (Recherche Assistance, Intervention et Dissuasion) et du GIPN (Groupe d’Intervention de la Police Nationale) et l’interpellation de deux frères âgés de vingt ans et de vingt trois ans qui avaient en leur possession d’une arme de poing.

Une histoire sanglante d’un braquage qui s’achève sur un fiasco et qui met en doute la sécurité des casinos terrestres, on craint sur la sureté des joueurs et des employés des établissements de jeux sans parler des pertes matérielles que peut subir un casino après un braquage, et toutes les répercussions d’une telle affaire sur les recettes des établissements désertés par une clientèle apeurée. Malgré tout le dispositif de sécurité dont sont dotés les casinos avec les caméras de vidéo surveillance, les agents de sécurité, les policiers civils qui surveillent de près les agissements de tout un chacun, entre d’autres procédés, des évènements regrettables et désolants comme le braquage dont a fait l’objet le casino d’Uriage les Bains ne peut que donner du souci aux autorités mais surtout aux propriétaires et gérants des établissements des jeux qui restent impuissants face à ce fléau qui a frappé plusieurs casinos en France cette année comme l’année passée et celle d’avant, souci qui augmente avec la cadence infernale et soutenue à laquelle sont exécutés ces braquages et qui mettent l’accent sur la responsabilité et des casinos et des autorités en matière de sûreté et de sécurité de la clientèle et du staff de ces établissements.

En effet de tels évènements génèrent des répercussions sociales, économiques et financières aussi bien sur les casinos en question qui voient leurs recettes journalières affectées, que sur la région qui sera perturbée par des violences urbaines comme ce qui s’est produit à Villeneuve sans parler du traumatisme subi par les employés comme par les joueurs qui fréquentent l’établissement. Un marasme qui ne peut prendre fin qu’avec la mise en place de nouveaux dispositifs plus rigoureux qui assure tranquillité et sureté à tout le monde et qui assure la sérénité des casinos dont les une partie des recettes vont au trésor public.

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