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Depuis de nombreux siècles déjà, les courses hippiques déchaînent les passions. Ce sport existe depuis l’Antiquité et n’a cessé d’évoluer au fil des âges. Aujourd’hui, le turf continue de susciter l’engouement auprès de millions d’aficionados éparpillés aux quatre coins du monde.

Tant les courses sont dorénavant si populaires que les hippodromes aux USA y ont installés des casinos aves roulette , black jack , poker et machines a sous .

 

Les premières courses de chevaux

 

L’Homme a fait appel aux chevaux dès lors que cette espèce animale a été domptée, il y a deux à cinq millénaires. Pour décupler sa vitesse de déplacement, l’être humain monte le cheval et l’attèle. Au-delà de la dimension pratique, cet animal est aussi utilisé à des fins plus ludiques. Dès 4500 avant J.-C., les civilisations nomades d’Asie Centrale ont mis en place des courses de chevaux.

 

Bien plus tard, en l’an 638 avant J.-C., les Grecs intègrent les courses hippiques dans le programme des jeux Olympiques. Durant cette époque, les rencontres équines ont le vent en poupe. Les courses de chevaux et de courses de chariots tirés par des chevaux étaient très appréciées. Très vite, la discipline est adoptée par les Romains qui hissent la pratique au rang d’incontournable. En l’an 600 avant J.-C., Tarquin l’Ancien – roi de Rome – érige le tout premier hippodrome. Petit à petit émergent les métiers de l’équitation comme ceux d’entraîneur, de jockeys sans oublier les juges.

 

Les courses hippiques de l’époque contemporaine

 

Les courses qualifiées de « modernes » on été disputées à partir du XIIe siècle. L’établissement des règles qui régissent ces rencontres reviennent aux Anglais. Au XVIe siècle, plusieurs pistes de course sont construites en Angleterre. L’histoire des courses hippiques prend un tournant grâce à la Reine Anne qui en fait un « sport officiel ». Cette souveraine est la fondatrice du célèbre hippodrome d’Ascot inauguré en 1711.

 

Il faudra attendre le XVIIe siècle pour que les courses hippiques débarquent sur le continent américain. La toute première piste de courses hippiques est construite à Long-Island. Les courses de chevaux constituent alors un divertissement très prisé mais la discipline ne fera l’objet d’une formalisation qu’au lendemain de la Guerre Civile. Dès lors, le secteur connaît un essor fulgurant, boosté par l’évolution industriel et à la notoriété grandissante des jeux de paris. En 1890, les Etats-Unis comptent plus de trois-cents pistes dédiées aux courses hippiques.

 

Les courses hippiques en France

 

A partir de la fin du XVIIe siècle, plusieurs courses se tiennent en France, notamment à Archères ou encore à Saint-Germain. Ce n’est qu’au XVIIIe siècle que les courses commencent à être organisées et structurées. Pendant la seconde moitié de ce siècle, des épreuves réglementées se déroulent aux Sablons – hippodrome qui deviendra plus tard Longchamps – ou encore à Vincennes. La réglementation au niveau national se peaufine en 1805, faisant l’objet d’un décret. Un an plus tard, c’est l’élevage qui est réglementé et six haras d’état sont mis en place. Parallèlement, des hippodromes voient le jour dans les provinces.

 

L’organisation des courses implique la mise en place de critères de poids suivant les races. Des éliminatoires sont organisées en province, la finale se dispute dans la capitale. Les chevaux courent sur des distances comprises entre quatre et six kilomètres. Les concourants doivent impérativement être français et avoir entre cinq et sept ans.

 

Pendant la Restauration, les épreuves sont disputées au Champ de Mars. Bientôt, elles sont organisées tous les ans. 1833 est marquante dans l’histoire des courses hippiques dans l’Hexagone. C’est l’année de création du tout premier stud-book du pays, celui-ci étant inspiré du modèle anglais. En 1834, on recense dix-huit hippodromes en France. C’est le début de l’histoire passionnante des courses hippiques dans le pays.

 

Elevage de chevaux de courses

 

L’élevage de chevaux pour leurs performances débute vers le XIIe siècle. Durant cette période qui coïncide avec le retour des Croisades des Chevaliers, les Anglais font connaissance avec les chevaux arabes et leurs capacités. Commencent alors les élevages de puissants chevaux de courses, résistants et rapides. Les éleveurs font en sorte d’amplifier les capacités des étalons qui font de véritables prouesses sur les pistes. La réputation et la performance de leur descendance dépasseront les âges et les frontières.

 

Des étalons arabes ont ainsi été croisés avec des juments locales. Les croisements ne cessent d’évoluer mais il faut attendre la fin du XVIIe siècle pour découvrir les ancêtres des pur-sang anglais tels que nous les connaissons aujourd’hui. Darley Arabian, Byerley Turk et Godolpin Arabian sont les premiers d’une grande lignée de champions. Ils sont les premiers à figurer dans le stud-book créé par Guillaume III. Ce livre renferme la liste des pur-sang nés ou élevés en France. On y trouve des informations essentielles comme la généalogie, la naissance sans oublier l’importation.

 

Ces chevaux ont fait impression sur les pistes et ont reproduit remarquablement dans les haras. Les pur-sang excellent particulièrement dans les courses au plat. Parmi les meilleurs d’entre eux, on peut mentionner Sea Bird, Brigadier Gerard, Secretariat, Mill Reef, Nijinsky, Ribot, Man O'War ou encore Dancing Brave. Pour sa part, Northern Dancer est considéré comme le meilleur étalon du XXe siècle.

 

Evolution de la discipline

 

Dès l’Antiquité, la discipline hippique se divise en catégories. Du côté grec, les courses sont attelées ou montées. A Rome, le public affiche une large préférence pour les courses d’attelage. A l’époque, ce sont des chars qui s’affrontent. Après être boudé pendant de longs siècles au lendemain de l’émergence du christianisme, le sport hippique revient au devant de la scène au XVIIe siècle sous l’impulsion des Français et des Anglais. Pendant les décennies qui suivent, plusieurs hippodromes sont construits en France comme au Royaume-Uni.

 

En ce qui concerne les disciplines pratiquées, les courses de trot se déroulent principalement en Europe, notamment en France, en Italie et en Suède. En France, de telles courses sont organisées à partir de 1835. Le succès est immédiat. La Normandie accueille sa première course l’année suivante. En 1837 se tiennent les toutes premières réunions hippiques dédiées au trot. La discipline gagne en popularité. Après avoir séduit toute la Basse-Normandie, elle s’étend à l’ensemble de l’Hexagone. En 1878, l'Hippodrome de Maisons-Laffitte reçoit les premières courses se déroulant en Île-de-France. Aujourd’hui, Vincennes est connue pour être la capitale mondiale du trot. L’hippodrome reçoit tous les ans les plus prestigieuses courses de trot, attelé ou monté. Citons notamment le célèbre Prix d’Amérique (trot attelé) ou encore le Prix de Vincennes (trot monté).

 

Simultanément, le galop n’est pas en reste. On ne manquera d’ailleurs pas de noter que cette formule fut la première pratiquée lorsque l’homme a domestiqué le cheval. La discipline a beaucoup évolué après la Deuxième Guerre Mondiale. Les courses opposant des pur-sang se multiplient au Japon, à Dubaï, à Hong-Kong mais aussi au Japon.

 

Le turf

 

Lorsque l’on évoque les courses hippiques, on pense immédiatement au « turf ». Ce mot englobe tout ce qui a trait aux courses hippiques. Ce terme nous ramène également au pari, une pratique qui date de Mathusalem. Depuis de nombreux siècles, nos aïeux pariaient sur le turf. Parmi les plus fervents, on retrouve les Egyptiens, les Romains et les Grecs de l’époque antique. De nombreuses découvertes paléontologiques en témoignent. A notre époque, les paris hippiques ne sont plus à présenter. Les inconditionnels ont le choix entre plusieurs catégories de paris dont le tiercé, le quarté ou encore le quinté comptent parmi les plus populaires.

 

Autour du turf

 

Les équipements utilisés pour les courses hippiques ont évolué depuis les premières manifestations. Il est intéressant de noter que leurs origines sont diverses. Le recours au mors et à l’étrier a été décidé vers le VIe siècle avant J.-C.. C’est en Angleterre que l’on a découvert le premier hippodrome aux pistes gazonnées, en 1603. La tenue des courses sur ce type de terrain a complètement révolutionné l’univers de la course équestre.

 

Au début du XVIIe siècle, les lauréats étaient récompensés avec des trophées agrémentés de clochettes. Celles-ci pouvaient être en argent ou en or. A partir de l’année 1709, les résultats des courses équines étaient publiés dans les journaux. Le prestigieux Jockey Club a vu le jour en 1751. Ce groupement de jockeys a mis en place des règles qui sont devenues des références dans le monde des courses de chevaux. Un demi-siècle plus tard, l’hippodrome anglais d’Ascot accueille la première course qui se déroule sur une distance de 4 000 mètres.

 

Le PMU

 

On ne saurait parler de l’histoire des courses hippiques sans évoquer le PMU. Pour mieux cerner les origines de cette institution, il faut revenir en 1881, année durant laquelle les paris hippiques sont rendus légaux. La mutualisation, qui implique le partage des gains entre les parieurs, est également instituée. A l’époque, des agréments sont délivrés par le Ministère de l’Agriculture, permettant aux sociétés de courses d’organiser les courses et les paris. Ces derniers pouvaient exclusivement être déposés au sein des hippodromes. On parlait alors de PMH ou Pari Mutuel Hippodrome. A partir de 1930, l’enregistrement de paris hors des champs de courses devient légal.

 

Un an plus tard, en 1931, le PMU ou Pari Mutuel Urbain fait son apparition. L’élaboration du principe qui le régit revient au Français Joseph Oller. Les parieurs pouvaient désormais enregistrer des paris dans des restaurants, des cafés ou encore des boutiques. Les joueurs résidant à Paris sont les premiers à utiliser le PMU. Ils avaient le choix entre le pari simple et le report. Il faut attendre 1954 pour que le « Tiercé » soit instauré grâce à André Carrus. Cette formule rencontre bientôt le succès grâce à la retransmission à la télévision programmée pour la première fois en 1956. Vingt ans plus, les parieurs découvrent le Quarté Plus puis le Quinté Plus. Aujourd’hui, le PMU possède plus de dix mille points de vente en France.

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